Accident de Pierre Palmade : triste révélation sur l’enfant de 6 ans gravement blessé

Dans son édition du jeudi 9 mars, Paris Match revient sur la vie tourmentée de Pierre Palmade. Des ses excès à son amitié avec Muriel Robin, nos confrères évoquent l’accident de la route provoqué par l’humoriste et font de tristes révélations sur l’état de l’enfant de 6 ans grièvement blessé le soir du drame.

Ses jours ne sont plus comptés, mais son état reste dramatique. À 6 ans, Devrim a vu sa vie être bouleversée le 10 février dernier quand la voiture de Pierre Palmade percute celle de son père Yuksel. Tous deux sont grièvement blessés. Sorti du coma six jours après le drame, l’enfant « n’a toujours pas dit un mot », rapporte Paris Match, dans son édition du jeudi 9 mars. De cet accident, le petit garçon, qui a quitté l’hôpital Necker de Paris ce lundi 27 février, « gardera des séquelles à vie ». « Il ne peut pas se nourrir, il a une sonde pour se nourrir, il est dans un état très très compliqué« , a déploré l’avocat de la famille des victimes sur BFM TV le 26 février dernier.

Avant de préciser : « Il va y avoir un très, très long processus de reconstruction d’un point de vue physique d’abord, puis psychologique pour un enfant déscolarisé qui était au CP et qui avait une vie tout à fait normale ». Des déclarations qui font écho aux informations de la chaîne. Quelques jours plus tôt, nos confrères expliquaient que Devrim « ne pourra plus jamais parler et marcher comme avant ». Pris de « vertiges« , il serait « encore sous le choc psychologique » de ce terrible accident.

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L’enfant « toujours sous le choc » de l’accident provoqué par Pierre Palmade

« Il est toujours sous le choc. Sa mâchoire est un peu rétablie, mais il ne mange pas comme avant, il ne peut pas parler comme avant », avait expliqué le neveu du conducteur au micro de BFMTV. Évoquant les conséquences psychologiques, la psychologue et chercheuse Laure Westphal complétait : « Il va falloir qu’il trouve la force de se réapproprier son corps, son image du corps qui va changer ». Quant à son père, il « souffre de multiples fractures » et « aura probablement du mal à remarcher ».

Le soir du drame, une jeune femme de 27 ans, qui accompagnait Devrim et son père, a perdu son bébé à naître de sept mois. « Je suis complètement catastrophé d’avoir mis en danger la famille que j’ai percutée, je suis obsédé par ça, le bébé qui est mort, je prie pour que les autres personnes restent vivantes », a déclaré Pierre Palmade, lors de sa détention provisoire, dans le bureau du juge rapporte Le Parisien ce mercredi 1er mars.

Crédits photos : Agence / Bestimage

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Dans le magazine ELLE en 2009, François Cluzet a raconté son alcoolisme qu’il a vaincu après une cure de désintoxication : « On fait un métier très mondain. Où que vous alliez, on vous propose un verre. Dans certains festivals, dès dix heures du matin, un plateau avec des flûtes de champagne surgit. Sur un tournage, il y a toujours quelque chose à fêter. Il y a le pot de la déco, le pot du départ, le pot de la fin de journée… » Par la suite, « j’ai fait une cure de désintoxication dans une clinique. » Depuis, cette mauvaise période fait partie du passé.

Ce vendredi 10 février, Pierre Palmade a été victime d’un accident de la route, à proximité de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne), aux abords de la forêt de Fontainebleau. L’enquête et les analyses toxicologiques ont démontré que le comédien, qui a percuté un autre véhicule et qui a blessé plusieurs personnes, était positif à la cocaïne et aux médicaments de substitution. Des démons contre lesquels il luttait depuis plusieurs années maintenant. En témoignent les nombreuses prises de parole de ses amies et personnalités, qui avaient partagé leurs craintes quant aux addictions du comédien. C’est notamment le cas de Muriel Robin, qui avait mis en garde l’acteur de 54 ans. « Muriel Robin m’engueulait parce que j’annulais parfois les séances d’écriture, après une nuit trop arrosée », avait confié Pierre Palmade au Point, en 2019.
Dans C à vous la même année, l’humoriste s’était confié sur cette addiction tenace et sur ses effets dans sa vie, personnelle et professionnelle. “La dépendance à la cocaïne est très sournoise (…). C’est la drogue la plus sournoise que je connaisse”, avait-il assuré sur France 5. “Je ne savais pas à 20 ans que c’était une maladie, je pensais que c’était un divertissement. J’ai subodoré à 30 ans que c’était un poison, à 40 ans, j’étais sûr que j’étais cocaïnomane et que j’allais dans le mur”, avait-il aussi raconté dans On n’est pas couché en 2019.

Francis Perrin est revenu sur sa guérison de l’alcoolisme dans La Boîte à secrets. “Il y a des moments dans la vie qui sont des drames, qui arrivent, et on croit que l’on peut soigner cela par l’alcool, a confié Francis Perrin pour l’occasion. Et donc j’ai été alcoolique. On croit que c’est un médicament, que ça soigne, alors que c’est un poison.” Grâce à sa femme et ses amis, il a mené son combat vers le sevrage.

Depuis plus de trente ans, Bernard Campan partage sa vie avec Anne. Le couple a traversé des épreuves, dont la dépendance à l’alcool de sa femme. Une addiction que la mère de famille est parvenue à combattre. « Quand Anne est sortie de l’alcoolisme, de son addiction, elle a réussi ça grâce aux Alcooliques anonymes. Et pour moi, ça a été l’occasion de les découvrir. C’est vraiment quelque chose qui m’a beaucoup marqué. Finalement, c’est une forme de spiritualité« , avait-il affirmé. Il a ensuite évoqué cette lutte dans son film La Face cachée, réalisé en 2007.

Thierry Ardisson est tombé dans les addictions durant sa jeunesse, au tout début des années 70. Très vite, il découvre le monde de la nuit, là où alcool et drogue rythment les soirées. “Nous, on s’est jeté dedans la tête la première”, a-t-il avoué. Finalement, il a décidé de se sevrer lui-même de la drogue :Je m’en suis sorti, mais c’est ce que j’ai fait de plus dur dans ma vie honnêtement. L’héro, au début, on en prend pour être bien, puis au bout d’un moment, on en prend pour ne pas être mal…”

Dans les années 1980, Louis Bertignac est au sommet. Il cède à la tentation de la drogue. Sa consommation augmente à vue d’oeil. “La drogue était assez inévitable quand on était dans le rock à cette époque-là. Tous les gens qui gravitaient autour de nous nous proposaient des substances. On avait du mal à refuser, surtout moi”, a-t-il confié dans l’émission En Aparté diffusée sur Canal+. Jusqu’au jour où il apprend qu’il a une hépatite C.

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